[Mes z'amours d'collocs de choc] Emménage.

Elle avait fait hôtel sur hôtel jusqu'à trouver LES colocataires de choc – Oui, ça promet ! Et voila, ça y était, elle LES avait trouver. Leo Van Leeds, Alexander Klein, Elle Carter et Selena Thursden.

A présent, il devait être autour de 18 heures. Zarah avait quittée son hôtel cette après midi, tôt, et avait passer le reste de sa journée en ville, au parc, a visiter Londre.
Elle avait déjà sa propre clef de l’appartement, et la passer pour la première fois dans la serrure maintenant. Elle était vêtue d’un jean délavé et d’un haut tunique bleu marine décolleté. Elle avait à son cou un collier Svarovsky qu’elle avait reçu pour noël d’une amie d’enfance qui habite encore et toujours à Paris.

Zarah posa sa main sur la poignée de la porte et ouvrit celle-ci, doucement, et pénétra dans la demeure… Vide ? Elle n’en savait rien, mais espérait que ce ne soit pas le cas. Elle n’avait d’une hâte, connaître ses nouveaux colocataires !

Etaient-ils des romantiques et poète ? Ou des supers loveurs très charmeur ? Ou aucun des deux ?! Etaient-ils des ploucs finit ou des grand top a la chevelure blonde platine ? Etaient-ils des hypocrites malhonnête ou tout le contraire ? Dieu, ce qu’elle pouvait angoissée, par moment !

Za’ posa ses sacs de voyages contenant toutes ses affaires, – des fringues, en autre – dans l’entrée, espérant ne gêner personne ainsi. Elle appela – qui donc ? – histoire de savoir si ‘’Qui donc’’ était présent.

« Heum… Il y a quelqu’un ici ? »

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La journée s'était levée de bonne humeur sur Londres, le soleil ettincelant comme jamais miroitait dans les feuilles et l'herbe bien verte des jardins londonniens, les jeunes personnes chaussaient leurs dernieres paires de lunettes à la mode, les jupes et derniers accessoires. Pendant que, se reveillant capricieusement dans Londres, la jeune et jolie femme qu'etait Elle Carter s'ennuyait déjà. Il était midi passé, et comme d'habitude la jeune fille fraichement reveillée se prelassait dans l'appartement de ses parents. Peignoir épais en laine aussi blanche que possible, chaussons assortis, cheveux emmeles. Il ne lui restait plus qu'à boire cinq bonnes tasses de son habituel café froid que tout le monde jugait comme degeulasse, une heure à se prelasser dans un bain et une autre à se trouver une tenue dans son dressing presque vide pour le demmenagement et Elle serait fin prête pour attaquer une nouvelle journée.

Parfumée à la mousse exotique de son bain, vêtue d'une simple robe digne d'une princesse, droguée à la cafeine. Il était 15 heures passées lorsque la journée d'Elle pouvait enfin commencer. Ses valises étaient prêtes, son chauffeur patientait, ou s'impatientait plutôt, depuis plus d'un quart d'heure, Elle pouvait donc commencer à emmenager dans son nouvel appartement. Et elle engoissait. Elle n'était pas si sociable que ça, elle était plutôt du genre capricieuse et avait un rythme de vie plutôt special, elle ne voulait pas de personnes bornées pour colocataires sinon... elle finirait par retourner vivre chez ses parents tant adorés.

La clef glissa d'elle même dans la serrure de la porte d'entrée, la porte s'ouvrit sans emmettre le moindre grincement. C'était plutôt bien parti, mais une fois arrivée dans le salon même son chauffeur, venu lui apportait le reste de ses affaires, trouva le lieu trop petit pour son ego. Elle devrait donc prendre la plus grande des chambres avant qu'un de ses colocataires ne viennent emmettre un commentaire, sinon où ranger ses affaires qui defilaient devant elle ? Son rangement ne lui prit que quelque minutes, bon, presque une heure pour etre plus exact, mais elle avait était efficace, tout était rangé de son dernier ensemble Calvin Klein à sa brosse à dents. Elle pouvait donc profiter de l'appartement.

Perchée dans l'encadrement d'une des chambres encore vide, elle en avait profité pour admirer la vue qui s'offrait mediocrement à elle tout en fumant la derniere cigarette de son paquet. Dans sa robe de creation peut-être un peu trop digne d'une princesse, elle avait l'air de la parfaite fille blasée, elle souhaitait donc beaucoup de courage à ses colocataires s'ils la supportaient. N'etait-ce pas quelqu'un qui venait d'ailleur d'arriver et de s'egosillait dans l'entrée ? Hell ne prit pas la peine de refermer la fenetre derriere elle, trop pressée d'être deçue par ses colocataires, pariant pour une pimbeche adoratrice de Dolce.

« Elle. Elle Carter. Enchantée. »

La lumière décadente d’une fin de matinée virent tirer le jeune homme de ses candides rêves, il était une nouvelle fois en travers de son lit, à moitié dénudé. Ses paupières qui s’était habitués à la noirceur de la nuit palpitait et frémissait à la clarté soudaine. Battant des pieds, l’épaisse couverture de plumes finit au pied du lit, laissant un jeune homme encore ensommeillé en caleçon blanc sur son matelas deux places.
Se redressant lentement, Alexander se trouva face à face avec lui-même, ou plutôt avec le reflet un peu floue d’un jeune homme possédant une beauté tapageuse et très arrogante, vêtu d’une bouche vermeille aux lèvres charnues, un nez fin, de grands yeux bleus, un front droit, et de cheveux mi-long châtains tirant vers le brun. Oui, on lui avait donné une beauté magnifique, adolescente, ce qui, pour lui, était plus une fatalité qu’un don. Entendre à longueur de journée de vieux hommes révéler que la seule pensée de disposer d’un corps tel le sien leur donner un vague sourire aux lèvres le dégoûté plus qu’autre chose. C’était doublement dur de se savoir beau, parce qu’on allait horriblement souffrir à mesure que le temps se joue de nous, Alexander savait qu’il allait devenir vieux, moche et ridé, et s’être vu tant d’années avec la candeur de la jeunesse rendrait le temps d’adaptation à se voir laid dur et interminable.

Enfin sur pieds, Alexander s’engouffra dans la cabine de douche et projeta sur son corps nu de l’eau glacée, pour se réveiller enfin. C’était facile à dire, mais presque personne ne prend ce genre de douche et Alexander ne pouvait à chaque fois s’empêcher de geindre et de sautiller pour vaincre la froideur de l’eau et ce fut dix minutes plus tard un bonheur de rejoindre la serviette moelleuse que laisser à disposition le Ritz.
Et bien oui, le jeune homme logeait dans le très chic hôtel ne pouvant supporter son hypocrite de père. Mais ça, c’était avant d’avoir trouver un appartement dans le quartier de Soho, non loin du Speakers’ Corner et de son musée préféré. De plus, la résidence était dotée de quatre colocataire. Alex avait pendant ses quatre années d’internat eu plusieurs de ces étranges spécimens et c’était à chaque fois un plaisir de les voir jour après jour, vivant avec eux ou contre eux, il était ressortit de ces expériences remplit de souvenirs et le jeune homme avait un bon pré sentiment.
Habillé avec un slim en velours noir, des converses basses rouges, et un t-shirt « Les Beatles » d’époque et couvert de son vieux manteau long Joseph Font, Alexander était prêt. Ses trois valises étaient prêtes et la réception s’empressa de les mettre soigneusement dans le coffre de la mini noire conduite par son chauffeur, Graam Wilson. Après quelques minutes de route, le jeune homme se retrouva face à un building de plusieurs étages, avec, ses trois codes. Pianotant rapidement sur les quatre touches, le jeune homme pénétra dans le hall, et, sans même jeter un coup d’œil sur les murs correctement décorés, entra dans l’ascenseur, lui, et ses trois valises. Rapidement arrivait au septième étages, Alexander se dirigea vers l’appartement trente-six B. Une seconde. La main sur la poignée, il entendait des voix par-derrière la porte. Des filles, sans aucun doute. Levant la tête vers le plafond, et, psychologiquement vers le ciel, le jeune homme pria pour ne pas se trouver nez à nez avec de vieilles filles avec leurs chats à longs poils. Piiiiitiiiiiié. Surtout que son furet s’impatienter dans son sac à dos Oakley. Entrant enfin dans l’appartement, Alexander tira ses lourds bagages dans l’entrée et referma la porte. Le regard du jeune homme vit apparaître sous ses yeux Elle, meilleure amie de sa tendre sœur et une inconnue. Et merde. Pourquoi la meilleure amie de sa sœur ? Elle allait pouvoir surveillé tout ses moindres mouvements. Une esquisse de sourire parvint quand même sur la bouche du jeune homme.

« Alexander Klein », dit-il, s’avançant main tendue.

11 heures du matin dans un appartement ringard de Londres. Un jeune homme se trouvait là, étendu depuis l’aube sur ses draps blancs. Dans à peine 4 heures, il devrait rendre les clés de son logement, enfin, si l’on pouvait appeler ça « logement ». Léo habitait en effet dans un des quartiers les plus dépravés de Londres, et son immeuble grisâtre et délabré s’avérait être plus un refuge pour pigeon qu’autre chose. Toute l’année Léo avait rêvé de quitter cet Enfer, et désormais, il ne pouvait s’empêcher d’avoir un pincement au cœur. La preuve, il n’avait toujours pas fini ses valises : quelques bouquins traînaient par ci par là sur la moquette, ses produits de toilette étaient toujours dans la salle de bain… Il appréhendait réellement ce déménagement comme une échéance, et il avait beau se dire qu’il aurait pleins d’avantages dans ce nouvel appartement - comme d’être plus près de son lieu de travail, il ne pouvait se décider à boucler ses affaires.

Après avoir déjeuné, il emballa tout les aliments périssables du frigidaire, ainsi que les fruits pour les emmener à sa voisine, une veuve qui l’avait beaucoup aidé lors de son arrivée sur Londres, et il lui était donc extrêmement reconnaissant. Il se revoyait débarquer dans ce lieu minable, voilà un an de ça, le sourire aux lèvres, et pleins de rêves en tête. A cette époque il espérait encore retrouver ses parents. Un an après, il semblait désespéré, comme si cette atmosphère monotone avait fini par déteindre sur son moral. Enfin, Léo Van Leeds restait tout de même fidèle à lui-même, et il ne baisserait jamais les bras. Lorsque 16 heures sonna, il finit par terminer de ranger ses affaires une à une, non sans regrets, soupirant presqu’à chaque seconde tant il regrettait sa décision. Une fois les valises terminées, il enfouit minutieusement sa guitare dans sa protection.

Fin prêt, le jeune homme attrapa le bout de papier où il avait griffonné l’adresse, mais aussi le nom de ses colocataires : 3 filles pour 2 garçons, plutôt alléchant. En quittant l’immeuble il déposa la clé chez sa concierge et prit le métro pour rejoindre le lieu de départ d’une nouvelle vie. Le trajet fut difficile dans la mesure où Léo - avec ses bagages, était plutôt encombrant. Plusieurs personnes ne firent que râler après lui, avant d’exprimer leur enchantement lorsqu’il descendit à une station. Lorsqu’enfin il arriva miraculeusement à l’adresse indiqué, il prit l’ascenseur jusqu’au septième étage. Cette montée lui sembla une réelle éternité. Le jeune homme s’interrogeait en effet sur la nature de ses colocataires. Sur qui tomberait-il ? Des filles capricieuses et pimbêches ? Simples et marrants ? Un mec pervers voire gay ? Toute sorte de question fusait dans sa tête, mais il trouva rapidement réponse à ses questions.

Lorsqu’il arriva à l’étage, il aperçut un homme devant l’appartement en question. Il s’avança donc difficilement en trainant ses deux bagages et en soutenant tant bien que mal sa guitare sur son épaule, avant de jeter un coup d’œil furtif à son papier comme pour apprendre les prénoms. Lorsque le jeune homme brun rentra dans la pièce en se présentant, Léo en fit de même, amenant avec lui tout son « barda ».

« Et moi je suis Léo » Pourquoi précisez son nom ? Personne ne comprendrait ce qu’un Van Leeds pourrait bien faire ici, et pourquoi cette famille richissime avait un petit-fils devant cohabiter avec des colocataires. Il n’avait pas envie d’expliquer ses choix, encore moins envie de parler des raisons de sa présence dans cette ville. Il espérait réellement qu'aucun de ses colocataires n'est vu sa photo dans le journal ou ne le reconnaisse tout simplement. Il regarda les deux jeunes femmes en remarquant tout particulièrement l’une qui ressemblait à une vraie princesse, avant de replonger ses yeux furtivement sur son bout de papier.

« Euh, visiblement, il en manque une… »

Sans attendre plus longtemps, Léo se mit à l’aise, déposant ses bagages dans le hall et rajoutant par-dessus sa guitare toujours enfuie dans sa protection. Il s’avança dans le hall scrutant le plafond sans raison, juste pour voir… Les lieux étaient splendides ! Bien sur, il avait connu le luxe au plus haut point chez ses grands parents, mais après sa virée dans son autre appartement minable, autant dire que celui-ci semblait parfait à ses yeux. Il se retourna alors vers ses 3 nouveaux colocataires les regardant un à un d’un air confiant. Léo avait cette faculté de bien cerner les gens au premier coup d’œil. Sans aucun doute, il y aurait des clashs dans leur colocation, mais peu importe, il adorait par dessus tout les disputes. Pour mettre de l’ambiance, vous avez déjà vu mieux ?

« Ooh mais tait toi !!! »

Le téléphone de Selena Thursden se mit à sonner, elle ne savait même plus pourquoi elle avait mis son portable à sonner en tout cas, ce n’était pas un appeler, la sonnerie spécial de son réveil « You are the sun of my life… » Se mit à se répandre dans toute la pièce ou elle dormait. Elle avait dénicher jusque la, un studio assez cool, qu’elle partageait avec une fille qu’elle ne voyait pas très souvent. De une le fait qu’elle sorte beaucoup pour les fêtes et pour travailler, ne lui laisser pas beaucoup de temps pour habiter réellement dans ce studio, à part peut être pour y dormir. Elle se réveilla brutalement, comme quelqu’un qui était en retard pour sa première journée de cours. Elle regarda un moment tout autour d’elle, ce studio était magnifique oui mais sa colloc allait partir et même si il lui était possible de payer seule, avec l’argent de ses parents elle s’y refuser. Après tout, autant repartir à nouveau, les changements n’avaient jamais fait de mal à personne. En plus de cela, elle partagerait sa nouvelle demeure dans un lieu super bohème ou elle apprécier déjà se promener même avant, et avec 4 autres colloc, de quoi pouvoir mettre de l’ambiance ! Tout ce qu’elle espérait, c’est que ce ne soit pas une de ces personnes sans intérêt, et superficielle.

Oui, elle était toujours à la pointe de la mode, elle avait posée souvent pour e faire son propre fric mais jamais elle n’avait était superficielle, jamais méchante sans aucune raison, il fallait tout simplement apprendre à la connaître, ou du moins, s’en prendre la peine. Prenant une bonne douche, elle sortit 20 minutes plus tard de la salle de bain, en sous-vêtements, une manie qu’elle avait de se promener ainsi quand elle était cher elle. Elle n’avait jamais eu honte de la nature et ce n’était pas une manière de provoquer, loin de la. Elle regarda ses valises déjà faîtes depuis deux jours puis prit les affaires qu’elle avait laissée la vieille sur la chaise pour ne pas perdre de temps. Elle portait avec classe, un mini short effilé sur les coutures du bas, une grosse ceinture en cuir avec une boucle doré puis un tee-shirt blanc tagué de couleurs attrayantes. Ces santiags marron en cuir qu’elle portait lui donner un air décontracter mais également un look travailler. Hopla, elle enfila de simple boucle d’oreilles pendantes, un bracelet blanc, et toucha son piercing au ventre comme pour vérifier qu’il était toujours en place. Elle souffla un bon coup et se mit à porter un gros sac remplie de vêtements et autres, un autre sac énorme bandouillère puis une valise à roulette. Elle eu du mal à quitter le loft, non pas qu’elle angoisser d’arriver dans sa nouvelle demeure, non mais plus à cause de ses affaires. Le chemin pour son nouveau domicile, lui prit 25 minutes à pieds. Une fois arrivée, elle rentra, monta à l’étage qu’elle avait retenue puis arrivée devant la porte d’entrée, elle sourit tout simplement,heureuse. Elle entendit du bruit dedans et rentra en faisant tomber par la même occasion ses trois sac près de ceux qui étaient déjà dans le hall puis arriva vers les autres gens en passant sa main dans ses longs cheveux parfaitement lissés :

« Salut tout le monde, je vis que tout le monde est arrivée si je ne me trompes pas. Enchantée, moi c’est Selena ! »

Elle les regarda, il y avait deux filles, l’une qui avait l’air toujours souriante et l’autre habillée il fallait l’avouer très bien. Deux autres garçons, les deux très charmants, mais elle préféra ne pas trop les observer pour ne pas que l’on pense qu’elle aimait la collocation juste pour des mecs. Elle remarqua tout de même que la seule personne qui n’avait pas de valise était un garçon, aux regard foncées impressionnant, les valises près des siennes devaient donc être à lui, il était aussi chargé qu’elle c’était assez adorable à voir. L'endroit était splendide et elle sentait qu'elle s'y plairait très vite.

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Fondue dans la masse, Elle esperait s'effacer, jamais elle ne supporterais autant de personne sous un même toit, d'ailleurs eux même ne la supporterais pas. Trop de monde, elle étouffait, suffocait, et pourtant elle voulait les connaitre. Surprise, elle regarda la derniere collocatrice debouler très peu vêtue et de trop bonne humeur. Elle devrait supportait ça ? En plus elle ne se souvenait déjà plus des prenoms, Richard, Victor, Andrew, Steven ? Elle n'en avait plus aucune idée, elle savait juste qu'elle ne supporterait encore moins ce silence. Assise dans un fauteuil qu'elle s'appropriait déjà, elle leva la tête, le sourire aux lèvres où pendait une cigarette, les yeux pleins d'etoiles, elle brisa le silence en parlant pour la premiere fois.

- Je me suis permise de prendre la chambre du fond. En esperant que ça ne vous derange pas

Qu'est ce qu'ils en avaient à faire ? De toute façon elle ne changerait pas même si leur deplaisait. Tout ce dont elle avait envie c'était une bonne grosse tasse de café bien froid et bien fort. En se retournant vers la fenetre, elle n'allait tout de même pas restait à les admirer, elle se demandait comment reagirait ses nouveaux collocataires en s'appercevant qu'elle ne buvait le café que froid et trop fort ? Et que si ils avaient la megarde de le jeter ou d'en faire un meilleur elle risquait de faire une crise monumentale ? Ou peut être que ce garçon qui avait l'air de sortir d'une mauvaise publicité aimerait lui aussi, ou peut être que les filles étaient elles aussi accros à la cafeine et ne chipoterait pas ? Bien qu'elles aient l'air bien cruches.

- Dîtes, j'ai fais du café, quelqu'un en veut ?

Pour la premiere fois de la journée, la Princesse souriait vraiment, et pour une fois ce n'était pas à elle qu'elle souriait.

*Je suis sûre qu'ils vont appreciait*

[ Vous m'enervez à faire des posts longs, pour la peine en voici un court, moche et nul ]

Admirant avec un sourire charmeur tous ces colocataires, Selena remarqua que la blondinette toute vêtue comme elle l’aimait, venait de la regardait surprise. Peut être n’avait elle jamais vu une fille dans son genre faire collocation ou tout simplement la trouvait elle comme beaucoup d’ailleurs superficielle et bimbêche à n’en plus pouvoir. La seule chose qui pouvait rendre Selena dans une colère fille, le jugement. Elle ne supportait pas qu’on la critique ou la juge sur son accoutrement ou sa façon de sourire et faire la folle 23H sur 24. Après tout faire la gueule tout le temps, être désagréable et rester cher soit ça avait plus le don de l’agacé qu’autre chose, tout le monde sait que la vie ne vaut la peine d’être vécue que si l’on prend conscience que chaque petites seconde peut être notre dernière et qu’un incident peut nous être fatal. Selena ne pouvait s’empêcher de sourire, forcément elle ne les connaissait pas encore mais sentie directement qu’il allait y avoir beaucoup d’ambiance, engueulades, tensions, délires, partages, bref la vie en collocation normal quoi. Les autres n’avaient pas encore réellement réagit à sa venue alors elle sortie de sa poche arrière de son short en jean, un mini paquet d’allumette généralement distribuer dans des boites de nuit, ou elle avait noter le noms de ses colocataire, il valait mieux vérifier qu’elle ne ce soit pas tromper d’endroit. Le numéro de l’appart était bien le même, il y avait apparemment présente dans la pièce, une Zarah McCartney, Elle carter, Alexander Klein puis Léo, simplement Léo. Elle leva alors ls yeux vers les deux garçons puis semblant de rien les observa un instant avant de remarquer que ce garçon lui disait bien quelque chose.

Son père, l’homme d’affaire qu’elle redoutait le plus au monde connaissait du beau monde, elle se rappela des moments ou il passait son temps à lui montrer dans des magazines les gens célèbres qui avaient une soit disant importance dans le monde du show-biz. Il avait toujours très booster sa fille lorsqu’elle posait en tant que mannequin comme sa mère auparavant. Selon lui, ça lui servirait bien un jour ou l’autre. Cependant jamais ça ne lui auras servit car elle avait tout arrêter, ce n’était qu’une façon pour elle d’avoir de l’argent et de faire quelque chose qu’elle aimait, avec son père qui s’en mêlait trop, cela devenait un enfer. Elle ne voulait même plus que les autres soit au courant du métier de ses parents, de ses jobs et du fait que malgré que ses parents puissent l’aider financièrement, elle décida de faire le maximum elle-même. Bref revenant on au fait, les Van Leeds, famille aristocrate et fortunée dont l’homme que Selena connaissait pour avoir entendu son père en parler quand il aperçu une photo des grands parents et de leur petits fils. C’était donc cela…Bine qu’elle s’interroger, elle lança juste un petit regard vers lui puis écouta la demoiselle qui leur parla des chambres.

Pour Selena, aucun problème, tant qu’elle avait une chambre elle s’en fichait, lançant avec douceur et sourire :

« Pas de soucis tant que j’ai un lit pour dormir moi tout le va ! »

Les premiers arrivés étaient les premiers servis c’était comme ça, une règle peut être impitoyable mais logique.
La demoiselle fumait déjà elle n’aurait pas de mal pur elle aussi fumer ses clopes habituel dans l’appartement quoi que elle préfèrerait d’abord demandait si quelqu’un était dans la même pièce si oui ou non cela les générait. Et oui elle avait un respect pour les gens hors norme même quand ceux-ci ne le méritaient pas forcément. (Elle parle pas de toi Elle ! MDRR). Alors que la même demoiselle se proposa pour faire du café, Selena répondit machinalement :

« Moi je veux bien s’il te plait un méga chaud et fort ! Tu veux que je t’aide peut etre ?! »

Puis ne pouvant s’en empêcher, elle regarda l’autre fille en lui adressant un sourire, elle n’avait pas parler tout comme les autres d’ailleurs, elle semblait un peu plus timide. Elle lança alors à Léo en regardant son paquet d’allumette juste avant :

« Dit, je ne t’ai pas déjà vu quelque part ? C’est quoi ton nom de famille, tu est le seul a qui on ne me la pas donné !Euh, d'entre vous qui est Zarah, Alexander et Elle pour me repérer »

Elle était très curieuse et ne pouvait s’empêcher de savoir comment il réagirait à sa petite provocation mais très gentil malgré cela. Elle voulait simplement savoir les raisons de sa présence ici.

[Il est peut etre plus petit le tiens mais loin d'être plus moche et nul tongue

EXPDRR]

Comme toujours, l'esprit de Léo vaguait à ses occupations farfelues que peu de personnes comprenaient réellement. Par exemple, alors qu'une personne normale ce serait contenter de sourire, d'aborder par-ci, par-là la conversation avec ses nouveaux colocataires, le jeune homme lui, préférait passer la moitié de son temps la tête en l'air. Rêveur ? Vous avez vu juste. Mais autre chose attirait l'attention de notre passionné d'art : l'architecture des lieux. Oh il n'y connaissait pas grand chose, juste assez pour éveiller sa curiosité. On devinait clairement que la construction du bâtiment était récente, et par conséquent, Léo ne comprenait pas pourquoi la tapisserie de l'entrée affichait un style Victorien des plus marqué. Grimaçant légèrement devant cet affront de mauvais goût, Léo se rassura en se disant simplement que les précédents colocataires devaient sans doute être des retraités, ou des jeunes frustrés par la modernité. Et heureusement pour lui - enfin pour eux, l'immonde tapisserie trop classique et fade n'envahissait que le hall.

Finalement, il baissa la tête calmement vers la dernière arrivée en liste. C'était quoi déjà son nom ? Séléna ? Ouais, sûrement. Elle le fixait bizarrement comme si elle tentait de le passait aux rayons lasers pour découvrir quelque chose de secret. Forcément, une légère inquiétude s'empara de Léo. Etait-ce possible que cette statue géante soit dotée d'une cervelle ? Non parce qu'en fait, il n'avait jamais réellement vu de mannequins en posséder. A vrai dire, elle avait dû voir une photo de lui dans le journal. S'il prononçait son nom de famille, il était fichu. Par miracle, une autre jeune femme prit la parole rompant le silence qui - il faut bien l'avouer, devenait légèrement pesant, en les questionnant sur l'organisation des chambres. Comme Léo ne connaissait pas son prénom, il se décida à l'appeler intérieurement Princesse, en rapport à son apparence. Elle était des dignes des plus riches et nobles filles qu'il avait bien pu croiser dans le manoir de ses grands parents. De deux choses l'une, soit cette Miss jouait une pure comédie, soit elle était réellement titrée, et dans ce cas-là, Léo devrait encore plus paraître mal élevé pour éviter qu'elle ne repère son titre. L'affirmation de la Miss était catégorique. Léo jeta un coup d'oeil au jeune homme présent non loin de lui et à la dernière jeune femme qui semblait observer les lieux avec contemplation. Vu que personne ne répondait, il allait prendre la parole mais Séléna le devança. Il rajouta après elle d'une voix légèrement cassé dû à son petit rhume :

« Quoiqu’il arrive je prend la troisième, si ça ne dérange personne bien entendu »

C'était une manie chez lui. Il adorait le chiffre trois, et légèrement superstitieux, il choisissait souvent en se fiant à se chiffre. Vous hésitez entre plusieurs vêtements ? Prenez le troisième. Vous hésitez entre deux nouvelles coupes de cheveux ? Choisissez en une autre, qui sera la troisième. Et puis après tout, ils étaient dans l'appartement 36b non ? 3+6, soit 3 + 3 + 3 ? Bref, il passerait probablement pour un taré de première choisissant sa chambre précisément sans même l'avoir vu, mais au moins, il avait dit le fond de ses pensées sans se dégonfler. Puis, la Princesse proposa du café, un geste plus qu'adorable. Léo la scruta alors d'un air interrogateur. Allait-elle froisser sa jolie robe pour ses colocataires ? Wah, ce serait bien la première fois qu'il verrait une noble agir de la sorte. La suivant du regard, il esquissa un léger sourire et rétorqua, toujours après Séléna :

« J’en veux bien aussi, l’ennui c’est que je suis à l’opposé de Séléna. J’ai des goûts assez bizarres. Je préfère le café froid »

Quelle erreur. Il savait que cette réponse le ferait tout de suite passer pour un homme capricieux. Ca, il s'en fichait, non le problème c'est qu'on verrait sûrement en lui un enfant dont les parents ont cédé à tous les caprices. Et il est vrai que ces grands parents aurait été capable d'acheter un trône pour le satisfaire et s'il en avait eu envie. C'était un fait, Léo aimait bien les choses épicés, forte, mais du café chaud ? Non, mais vous rêvez ! Il aurait trop dû mal à digérer, et puis, pourquoi toujours faire comme tout le monde ? En attendant, il s'appuya contre le mur, poussant légèrement ses bagages qui gênaient toujours favorisant les embouteillages, avant d'être l'objet des interrogations de la femme à échasses à savoir la grande Séléna. Rah, sa curiosité devenait un très vilain et dangereux défaut. Il esquiva un temps son regard répondant calmement :

« Mon nom de famille ? Pourquoi ? Tu veux déjà m’envoyer des lettres d’amour ? Léo Ktober. Voilà mon nom »

Un sourire ironique se dessina sur son visage. Il était fier de son petit jeu de mot. Léo Ktobo. Les October, bien sur. Un super groupe de rock ! Enfin, est ce quelqu'un y verrait un mensonge ? Probablement pas. Toutefois, il décida d'avertir implicitement la Miss. Elle non plus ne lui était pas inconnu, et il lui lança en la foudroyant du regard, histoire qu'elle comprenne clairement que sa curiosité la perdrait, d'autant plus si le jeu s'effectuer contre Léo.

« Je ne pense pas que tu m’aies déjà rencontré quelque part, peut-être dans tes rêves, mais pas dans la vraie vie. C’est impossible chère Girafe. A moins que ? Je t’ai peut-être déjà vu en photo…dans la rue, habillée… Enfin peu importe » conclut-il en la défiant du regard. Bien sur il n’allait pas finir sa phrase. Ce serait bien trop réducteur pour Séléna, et puis il ne voulait pas l’afficher. Après tout, chacun gagne sa vie comme il le peut, et son but n’était pas de la vexer, juste de la mettre au courant que si elle s’avisait de fouiner, il aurait les moyens de la réduire en pièces.

Tout commencer assez bien, un appartement spacieux pour héberger plusieurs jeunes, une décoration pas forcément original mais ce n’était pas le plus intéressant. En aucun cas Selena allait passer tout son temps libre dans cet appart, elle adorait faire la fête alors les moments ou elle serait présente dans le logement serait quand elle dormira, c'est-à-dire jusqu’en début d’après-midi généralement. En parlant de chambre, elle souligna que le fait que la demoiselle s’étant approprié déjà sa chambre ne la gêné en aucun point et qu’elle se contenterait d’un lit qui rester. Dans ses pensées, elle espérait au moins que sa chambre serait assez spacieuse pour mettre tous ces habits, chaussures, cd de musique et photographie. Le jeune homme qu’elle cru reconnaître lança qu’il prendrait la chambre numéro 3 pour sa part. Il devait sûrement y avoir une signification sous ce geste mais Selena, à part sourire tendrement, n’y fit pas plus attention. L’autre garçon et fille présents ne montraient pas très grand signe de vie mais elle se dit qu’ils allaient bientôt s’y mettre. Quand cette femme proposa de faire un café pour ses colocataires, la jeune ex mannequin accepta fortement, Léo, lui avoua une chose assez bizarre, son penchant pour le café froid…Elle n’avait jamais essayé et n’avait pas réellement envie de savoir qu’elle goûts cela avait, mais après tout chacun avait ses goûts, c’est ce qui faisait aussi la beauté dans l’union de différentes personnes, leur différence à gérer une situation, leurs manies, leurs goûts, leur caractère…Selena n’ajouta rien, mettant ses mains dans ses poches arrières de son short en jean, se penchant légèrement d’avant en arrière sur ses santiags.

Tout lui revenait, ce garçon, ce Léo, il ne lui était pas indifférent, pas par son charme mais aussi par sa situation. Elle se rappelait désormais qui il était et le fait qu’il n’est pas donner son nom de famille l’intriguait au plus haut niveau, pourquoi cachait cela ? Peur d’être apprécier seulement à cause de son statut, de sa popularité, raison très secrètes en tout cas car la curiosité de la jeune fille fut très vite titiller par le jeune homme ne question. Forcément, s’appuyant contre le mur, il lui lança avec un sourire ironique, la regardant dans les yuex seulement un instant, quelque chose digne de casser n’importe qu’elle autre personne. Bien, le jeune homme ne se laissait pas démonter, il insinua que son désir de connaître son nom de famille n’était que par pur envie de lui envoyer « Déjà » des lettres d’amour, comme si elle allait forcément craquer pour lui à un moment donné. Elle aurait était capable dès le lendemain de lui écrire une lettre d’amour et de lui donner mais de un, elle ne le connaissait pas assez pour se taper un tel treap avec lui, quoi que généralement elle n’avait pas forcément besoin de connaître les gens pour s’amuser avec, et de deux, elle n’était pas du genre à vouloir montrer son penchant pour le côté romantique. C’est vrai ça, un cœur d’artichaut avouant qu’elle en était un, était sur de se faire avoir dans la vie et sa façon d’éloigner les gens qui l’aimait était une manière de ne pas s’y attacher. Dur, mais moins triste que si elle s’était montrée telle qu’elle l’était. Et puis qui voulait la connaître ? La plupart des gens ne voyait en elle que ce qu’elle voulait bien montrer, une jolie fille, folasse sur les bords qui rigolait souvent pour un rien. Et passer son temps à faire la fête. Personne ne se doutait ce qu’elle avait vécu chez elle, le fait qu’elle soit largement plus intelligente que l’on pouvait le croire et qu’elle adorait énormément la littérature dans tous les genres. Elle regarda donc les personnes déjà présentes dans la salle puis elle lança sans le regarder dans les yeux, avec un sourire quasiment angélique sur le visage :

«Pourquoi tu aimerais ? Pas besoin de les envoyer, je pourrais les déposer dans ta chambre quand tu dormiras encore, je vais prendre celle juste à côté de la numéro 3 d’ailleurs moi… »

Elle ne remarqua même pas le jeu de mot au jeune homme quand il lui déclina une fausse identité. Le seul soucis avec Selena, c’est qu’elle était trop curieuse et qu’elle tester les gens juste pour savoir leur réaction, savoir ce qu’elle pourrait ou pas faire avec eux. Alors qu’elle faillit balancer l’identité réelle de Léo, celui-ci l’embarqua dans son propre jeu, la menant elle aussi dans une situation bien délicate. Il ne cessait également de la provoquer quand à ses désirs puis il la surnomma même girafe, ce qu’elle ne prit pas mal du tout au contraire, c’était mignon une girafe non ? Et puis la plupart des garçons étaient complexer quand il voyait qu’une fille leur arrivée à la même hauteur ou même pire que cela, oser les dépasser. Elle n’avait jamais vraiment comprit pourquoi. Elle aimait le fait que ce garçon ai du répondant, a vrai dire, elle n’avait jamais vu cela. Un fort caractère rempli de mystère. Elle ne put s’empêcher de légèrement rigoler en passant son bras autour de son épaule, serrant légèrement son cou entre son coude comme si elle se chamailler avec un ami :

«Girafe ? J’sens qu’on va bien s’entendre microbe, cependant faudrait que j’arrête de rêver de toi car à force j’ai l’habitude de vraiment bien savoir qui tu es mon chèr Léo Ktober ! »

Des qu’il prononça le mot photo, le sourire de la jolie brunette se figea comme forcée, essayant de paraître naturelle. C’est pas vrai, il la tenait lui aussi à sa merci, il l’avait alors déjà aperçu ! Bon tant que ça n’était pas un de ces hystérique gaga devant une photo il n’y avait aucun soucis sauf que la, elle était un peu trop « soumise » selon elle. Il osait lui faire du chantage en quelque sorte, il la défiât du regard comme s’il passait un pacte avec elle établissant comme règlement de garder pour soit le secret de l’un et de l’autre et que si un mot sortait, il n’y aurait pas qu’un secret de révéler. Elle n’avait pas honte de ces photos au contraire elle les aimait, elle adorait cela cependant, elle ne voulait pas qu’on soit au courant, elle préférait garder ce secret pour elle et elle souhaiter qu’il le garde désormais pour lui. Elle ne voulait en aucun cas être interroger sur son ancien job ou sa famille. Selena ne se dégonfla pas et lui lança le même regard en disant tout simplement avec un sourire en coin :

« En photo dans la rue, ça dépends si t’as pour habitude de suivre les filles dans les rues et les photographier ! Habillée comme la plupart des autres filles oui…enfin je n’suis pas frileuse ! Mais comme tu as dit ça doit être mon imagination qui me joue des mauvais tous, tout comme la tienne ! »