Alexander Klein

Etat Civil :

Nom : Klein
Prénom(s) : Alexander Carl William
Surnom(s) : Alex…
Âge du personnage : 20 ans
Date de naissance : 28 mai
Lieu de Naissance : New York City
Nationalité : Américain
Signe du Zodiac : Gémeau
Job* : /

Préférances et Gouts :

Couleur préférée : Le Gris
Parfum de Glace Préférée : Le Citron
Sucrerie Préférée : Les Chamallow
Parfum Feminin Préférée : « Flowers »
Parfum Masculin Préférée : Alcool :p
Animal Préférée : Le Furet
Fleur Préférée : Les Narcisses
Objet préférée : Son BlackBerry
Plat préféré : Les Fish and Chips londonien
Livre préféré : « Mensonges Mensonges »
Film préféré : « Vingt-quatre heures avant la nuit »
Saison préférée : L’hiver
Goûts musicaux : Rock powa
Chanson préférée : Stix and Stones des Babyshambles
Pays & Ville préférée : Londres, Angleterre.

Passion* : Dans la très chic place nautique de Londres, le London Aquarium, le jeune Alexander fit ses premières brasses à l’âge encore tendre de quatre ans. Une fois tous les deux jours, quatre heures et demie par semaine, le petit garçon prenait ses cours avec le mythique Graam Jones et devint très vite un avenir sûr et combatif pour l’Albion. À l’adolescence, sa musculature se dessina lentement sur ses épaules et son ventre, façonnant ses traits déjà parfaits et le rendant irrésistible pour toutes jeunes filles dotés d’hormones. Alexander était devenu plus à l’aise dans l’eau que sur terre, se sentant réellement dans son élément quand le chlore de l’eau devenait complètement son monde, un univers où chaque bruit paraissait plus lointain et moins brut. Les entraînements à répétitions à la fin des cours ont fini par user notre Poséidon des piscines en lui imposant un douloureux déchirement des tendons qui se rétablit quelques mois plus tard avec l’interdiction de remettre les pieds dans une piscine pour faire des compétions.

Profil Psycologique :

Caractéristiques :
Le jeune homme a de multiples facettes, parfois blanc, parfois noir, l’inverse de lui-même, son contraire, il est simple et à la fois très complexe. Certains tons, certains gestes ne le conviennent pas, un mot de trop et on le voit partir au quart de tour en vous jetant un regard noir, il peut se sentir vite blessé, vexé et vexant, à la fois dangereux et infantile. Bien que cette partie de lui-même refait surface que très rarement, elle revient toujours, inattendue, une douche froide pour celui qui croise la route de Alexander, l’ami peu alors vite devenir l’ennemi. Cette ambiguïté déroute, ces crises de colère désarment et blessent. De plus, Alex est le stéréotype même du jeune homme fier de lui, il est vraiment très rare de le revoir vous faire des excuses, soit vous comprennez dans son regard confus que c’est sa manière à lui de se faire pardonner, sinon… Bye bye. Cette fougue fait bien sûre partit de sa vie de chaque jour, les choix qu’il fait ne sont pas toujours réfléchis mais pour le regard d’autrui, ce manque de prudence ne sonne qu’avec un et unique mot : liberté. Qu’elle soit d’agir ou de penser, sur tous les plans le jeune homme semble libre.
Mobile par excellence, épris du vertige de l'exploration, c'est un grand pourfendeur de frontières, toujours à flâner dans les recoins les plus sombres pour les démons qu’il pourrait trouver. Déconneur, amusant et frivole, il entoure ses amis d’un humour particulier, fait à base de chantilly, de bataille d’eau, d’oreillers, chatouille et autre. L’amitié est quelque chose qui conditionne énormément Alexander, il sait qu’il doit être là et l’est toujours, dévoué. Par contre, être à l’heure ? À part dans des situations complexes et suicidaires, nous ne sommes jamais sûr que Alex se montrera lors d’un rendez-vous, quelque qui soit et qui que vous soyez.
Comment ne pas aimer Klein ? Du drame et de la passion. Quelqu’un bigger than life qui vit sa vie comme un roman qui s’écrit au jour le jour. Un Rimbaud des autos tamponneuses. Un Wilde en Van’s Slip On crade ou en Converses déchirées. Un pour de vraie, viril, présent, mettant immédiatement à l’épreuve pour voir s’il peut accorder sa confiance, tentant le diable, tentant l’impossible.
Tombant dans la mélancolie, le jeune homme n’est pas de ceux qui oublient leurs soucis, quand il en a, songeur, le jeune homme ne parvint pas à les oublier, et vit difficilement avec. Secret, mystérieux, Alexander se laisse oublier quand un comité important lui est inconnu.
Très grand sensible, ses émotions profondes et complexes le submergent et finissent toujours pas le noyer, alors, il s’enfuit, finissant toujours part se retourner, mais quand la boule dans sa gorge ne l’empêche pas de parler, il essaye de s’expliquer, les mains tremblantes. Jaloux et possessif, l’amour comme l’amitié l’aveugle mais si, pour lui, rien a été qu’un jeu pour l’instant. Les relations qu’il lit sont toujours différentes, et son comportement aussi, il est alors difficile de le dire fidèle ou infidèle. La colère qui peut le surprendre ne se fait que très rarement physiquement, les mots tranches et fusent, mais les poings restent serrés près du corps, la violence ne faisait presque jamais partit de sa vie… Presque…
Plus grand défaut : Alexander est bien quelqu’un d’instable, basculant de la gaité au désespoir total, il est difficile de la comprendre.
Plus grande qualité : Dévoué, sensible aussi, il accorde énormement d’importance à sa famille, sa sœur et ses amis.
Peurs : L’amour peut-être. Ca a l’air bête comme ça mais, le simple fait de s’attacher à quelqu’un ou quelque chose lui donne des suées froides, peur de le perdre et de faire un faux pas, sans doute, fier de lui mais toujours en manque de confiance en soie… Quand je vous disais qu’il était complexe…

Biographie :

Histoire du personnage :
Comme toute histoire qui se respecte celle-ci parle d’amour, de destin… Et de manipulation.
Dans les éclats de rires un peu flous et mal distingués, deux jeunes d’une vingtaine d’années se rencontrèrent pour la première fois et eurent ce qu’on appelle communément un coup de foudre. Enfin, c’est ce que, des années plus tard ils eurent racontés à leur fille cadette, Hope Klein, mais ce n’est pas vraiment dans un soir d’hiver dans une soirée mondaine que les amants se sont trouvés mais dans une fête, bien plus alcoolisée qu’ils ne le prétendaient et avec plus de poudre blanche et cachets bleus que leurs sages enfants ne pouvaient osés l’imaginer. Bref, ce fut dans cette soirée sous LSD qu’ils confectionnèrent (entre deux verres), le jeune Alexander Klein. Deux mois plus tard, après avoir été sûre et certaine d’être enceinte jusqu’aux os que la jeune journaliste Helena McTaylor rappela ce personnage lointain qu’elle avait cru simplement croisé dans un de ses rêves, un rêve plus vrai que nature puisque les hauts le cœurs matinales étaient bel et bien là. Soit, ils se retrouvèrent entre deux vols du jeune Tomas Klein, un travailleur acharné se dépouillant dans une grande maison d’affaire et dans une urgence quasi-totale, improvisèrent un dîner chez les parents des deux amants qui, pour ne pas finir sans un sous loin de leur famille riche, se dirent fous amoureux depuis de longs mois. Les neufs mois de grossesse passés, naquit Alexander Carl William Klein McTaylor. Bien sûr, après avoir vécu quelques mois l’un avec l’autre, Helena et Tomas furent épris d’un amour fou, un amour qui les poussèrent donc à donné à leur jeune enfant une petite sœur d’un an sa cadette, le huit novembre née Hope Heather Isabel Klein McTaylor. Nous reparlerons du moment où Alexander eut réussi soutiré ses informations à ses parents…

Depuis ses premières dents, ses premiers sourires et ses premiers pas, le petit Alex était le digne successeur de deux grandes familles et de deux heureux parents-pas-si-innoncents-que-ça. Il avait déjà tout, un chien qui ramenait la balle, un mini ordinateur avec connection wi-fi, des rires tout au long de la journée, une petite sœur aux yeux verts, bref, déjà à dix-huit mois, le petit garçon avait l’opportunité d’être blasé. Il se laissait traîné dans les soirées chics, arrivait à manger des olives en souriant bien que c’était d’un goût affreux mais le caractère du petit garçon se réveillait quand l’une des vieilles filles de cinquante ans lui pinçait la joue en lui soufflant une haleine alcoolisée sur le visage, griffant, battant des pieds dans le vide, bref, on pouvait presque tout lui faire mais une âme de feu se cachait sous ce doux costume aux grands yeux bleus.

Champion de natation, l’élite même à l’école, aimé et adulé de tous, tous ça sous des vêtements sur mesure, ami proche du très prisé Julian Parker Alexander avait une vie de rêve, et avec chauffeur. Seulement tout changeant d’un jour à l’autre, quand, à l’âge de quatorze ans, il sentit son regard devenir plus lourd quand il passait sur le corps de sa sœur et sans dans une sombre nuit d’octobre, en revenant de son entraînement quotidien à la piscine de Londres qu’une question perturba son âme, un fardeau à traîné… Nous étions le mardi, jour où Helena et Tomas finissaient tard et où Alex et sa sœur devait dormir chez leurs grands-parents pour leur tenir compagnie, mais, cette question restait sans réponse. Le petit garçon partit à pied du London Aquarium à l’extrême Est de sa ville où son père avait créer sa propre boîte d’affaire. Septième étages, au fond du couloir, le petit garçon trouva son père autour d’une dizaine bières pour la plupart vide avec… Louisa, collègue de Tomas, allongés sur le bureau dévastés, ils sursautèrent et reboutonnèrent leurs chemises respectives dans une stupeur non dissimulée. Le mirage d’un père imbibé par l’alcool commença à s’expliquer à un fils saoul de mensonges et, dans un chaos total, Tomas laissa s’exprimer quatorze ans de mensonges, la rencontre de sa mère et lui, des nombreux ménages qu’ils avaient eu chacun de leurs côtés, se trompant une puis deux, des nombres sans fonds, sans vérité pur. Bref, avec plus une mais des centaines de questions en tête, le jeune Alexander repartit à la piscine, seul endroit où les sons, les échos de voix n’étaient pas aussi durs et limpides.
Ce fut ce soir-là où Alex eu se déchirements des tendons. Un mal de plus. Ce fut ce soir-là où Alex se promit de ne plus s’attacher. Et enfin, ce fut ce soir-là qu’Alex eut été inscrit à un riche pensionnat. Jamais le jeune garçon parla de cette soirée à sa sœur, protégeant Hope d’une vérité trop dure.
Il sortit avec des filles sans s’en occupé, joua avec les sentiments de plusieurs d’entres elles pour voir ce que cela faisait d’être le marionnétiste et, à dix-huit ans sortit enfin de ce pensionnat et revint vers sa famille, et non pas vers son père, mais c’est vrai qu’une gêne c’est vite installée, surtout envers sa sœur qui ne se doute de rien, et puis, cette question même après six ans reste dans sa tête… Il retrouva sa ville, son ami d'enfance Julian Parker, reprit ses bonnes vieilles habitudes en laissant souvent ses yeux sur sa soeur, la protegeant de tout et de rien, de leur père...

Profil Physique :

Apparence :
Le jeune homme à hériter de ses deux parents toutes leurs qualités, et même avec une volonté de fer il est difficile de trouver ses imperfections qui sont, presque inexistante. Grand et mince, Alexander a le physique typhique d’un mannequin avec cette petite chose qui fait la différance… Serait-ce ses lèvres pulpeuses et légèrement charnues, rosie et mystérieuse ? Ces cheveux ébouriffé qui lui donne une allure du fiévreux de boîte à entrée listée ? Ou ses yeux ses magnifiques boules bleues en amande qui vous rappellent que les vôtres sont communément marron ? Son visage est frais et possède des traits fins, son sourire est étincellement blanc, ses cils sont longs, très légèrement courbés. Son torse est souvent couvert d’un frisson quand il se laisse voir par toutes les jeunes filles en maillot de bain sur ses îles de vacances paradisiaque, il possède cette même silhouette que les nageurs de compétitions ont, légère et musclée. Son teint est loin d’être marron mais il reste tout au long de l’année hâlé grâce au plage de sable blanc.

Style vestimentaire :
Branché sans être lourd, hippie sans rentré dans le glauque, Alex a ce goût très spécial d’assemblé les bons vêtements, les bonnes teintes pour resté toujours à la pointe de la mode en rajoutant sa touche d’originalité et incorporant sa personnalité dans son look. Jeans sur mesure, lunettes en série limitée, polos de grands créateurs… Personne ne peut lui résister.
Manies :
Lorsque qu’il est stressé, fumé deux trois clopes Malboro française le détend, surtout lorsqu’il vient de faire l’amour à une jeune beauté, les fenêtres ouvertes donnant sur Londres tôt le matin. Rah, le bonheur. Il a encore tendance à aller à la piscine pour faire une dizaine de longeurs, sans trop forcer... Et puis, comme tous jeunes blasés qui se respectent, son addiction va aussi pour le poppers, ses machins là...

Autres :

Nom de la personne choisie en avatar : Jonathan Rhys-Meyers
Comment avez vous connu le forum : Par mamzelle Elle. Ca rime U_u
Fille ou garçon : Hihiiiii. Ca dit tout nan ? Fifille.
Evalué votre niveau de RP sur une echelle de 1 à 10 : Pf. Ch’ai pas, 6/7 sans doute.

Présence en moyenne sur le forum : Quand j’ai envie de posté
Vous désirez signalé quelque chose : I love, what else ?

Nombre de messages : 360 Age : 43 Date d'inscription : 03/12/2006

Pf. Ch'ai pas, 10 sans doute.
Validée